Découvre le portrait de Tsippora Sidibé, la créatrice du podcast Tant que je serai noire, qui évoque le désir et non-désir de maternité dans la communauté de femmes noires.

Découvre le portrait d’Aurélie Leveau, sexothérapeute qui révolutionne le rapport à la sexualité féminine et dans le couple grâce à son application edoni.

Autrice, conseillère en édition et fondatrice du magazine NEG, découvre le portrait de Tessa Naime, cette jeune guadeloupéenne au parcours inspirant et à l'avenir prometteur.

Le surmenage, c’est ce sentiment d'être sous l’eau, d’avoir tellement de choses à faire, tellement de tâches à effectuer, et ce, en permanence. Comme si ton cerveau n’est jamais sur pause. Et même quand tu essaies de le forcer à se déconnecter, tes pensées te hantent constamment.

À mon âge, ma mère était déjà mère. Elle a eu mon frère à 29 ans, et m’a eu à 35. Pourtant, j’ai encore beaucoup de mal à me projeter en tant que mère. Le désir de maternité et de grossesse est là, mais pourtant paradoxalement, l’idée d’avoir des enfants m’effraie quelque peu.

À l’occasion de mon 31e anniversaire, je voulais partager avec vous 31 réflexions que je me suis faite en tant que femme maintenant établie dans sa trentaine.

Je ne sais même pas par où commencer… Disons que, après tout le chamboulement de l’année 2020, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre en cette année 2021. Cependant, je dois avouer qu’au fond de moi, je sentais que beaucoup de changements allaient arriver et je n’ai pas été déçue.

J’ai réussi ma mission de nous offrir un espace sécuritaire, un safe space, un espace qui nous est entièrement dédié, un espace dans lequel nous n’avons pas nous censurer, un espace dans lequel nous n’avons pas à nous retenir, un espace dans lequel nous pouvons être nous-même.

En mai 2020, je ne sais pas si vous vous en souvenez mais la tension était palpable. L’actualité, les réseaux sociaux, les débats, tout était devenu anxiogène. En tant que personne noire, cela a été une période difficile mentalement. C’est à ce moment là que je réalise que j’ai besoin de contribuer à ma manière à l’émancipation de ma communauté.

Voilà, on y est, hier j'ai célébré mon 30e anniversaire ! C’est fou comme le temps passe vite. Je me rappelle de mes 20 ans comme si c'était hier, sans savoir ce que la vingtaine me réserverait (et dieu sait que ce fut 10 années mouvementées), et maintenant je suis officiellement une trentenaire.

"Ahhhh 2020 est terminée, enfin !" C'est une phrase que j'ai beaucoup entendu ces derniers jours. La plupart d'entre nous est soulagée que l'année se soit enfin achevée. Il est vrai que ce fut une année difficile, inattendue, complexe pour beaucoup. Cependant, ce serait mentir que de vous dire que l'année 2020 n'a pas été bonne pour moi. 

Vous a t-on déjà fait de nombreux compliments sur la qualité de votre travail, puis lorsque vous avez senti que ce bon travail devait être récompensé par une promotion ou une augmentation, vous avez eu le droit à un gentil refus de la part de votre supérieur(e) ? Ou bien vous a t-on mandaté de former une nouvelle recrue de A à Z et vous avez appris par la suite que cette personne était mieux rémunérée que vous ?

Je suis sure que vous avez déjà toutes eu cette question en entrevue « où vous voyez-vous dans 5 ans ? » Et là vous avez répondu une phrase bateau déjà préparée histoire de vous assurer d’avoir le job. Et bien en tout cas si on m’avait posé cette question il y a 5 ans, je n’aurais pas du tout imaginé être là où j’en suis aujourd’hui.

L'été touche à sa fin... Avec cette histoire de coronavirus, les vacances cette année ont plutôt été limitées pour beaucoup d'entre nous. Pour ma part, j'ai juste passé quelques jours dans la région de Charlevoix, à environ 4h à l'est de Montréal, histoire de déconnecter.

Le 27 juillet dernier a marqué deux années depuis que j'ai coupé mes cheveux le plus court de toute ma vie. Mais ce 27 juillet 2018, j'en étais à mon second big chop. Le véritable premier big chop que j'ai fait, était en mai 2018.

À quel âge vous êtes vous trouvées belles pour la première fois de votre vie ? Moi j'avais 25 ans. Oui j'ai pas mal souffert d'un grand manque de confiance en moi durant mon adolescence et le début de ma vingtaine, mais j'ai aussi été complexée à cause de mon teint de peau.

Avez-vous déjà entendu cette phrase ? Moi oui, et bien plus d'une fois. Alors premièrement, commençons avec l'analyse du terme "beaux cheveux". Quels sont les critères déterminant qu'un type de cheveux est plus beau qu'un autre ? La longueur, le volume, la facilité à les coiffer, la texture ?

Ahhh le rapport d’une femme avec son propre corps... par où commencer ? Ce sujet est si complexe, si particulier, si tabou, si intime, si propre à la condition féminine. D'ailleurs pourquoi ? Pourquoi est-ce que ce sont nous, les femmes, qui entretenons le plus souvent, un rapport difficile avec notre corps.

La danse. Devenue plus qu'une passion, comme une véritable thérapie, une façon d'exprimer mes sentiments, de me laisser aller, d'oublier le quotidien de la vie, mais surtout, devenue un moyen de connecter aux autres et de socialiser.

Je ne sais pas pour vous, mais avant de venir au Canada, pays dans lequel je n'avais jamais mis les pieds avant de tout simplement m'y installer lol, j'avais une vision du Canada, d'un pays très ouvert, pas vraiment raciste, sans jugements, non discriminatoire, non violent, bon oui je vivais au pays des bisounours, je l'avoue haha !